tag:blogger.com,1999:blog-2620237437218044017.post4586975869735272928..comments2021-01-25T00:53:21.378-08:00Comments on Les Poupées en Pantalon: And the winner is…Unknownnoreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-2620237437218044017.post-14089321137533006332011-11-06T15:09:35.318-08:002011-11-06T15:09:35.318-08:00Moi il m'est arrivé une scène tout à fait simi...Moi il m'est arrivé une scène tout à fait similaire. Au restaurant avec une connaissance (l'ami d'un ami d'une amie que je rencontrais pour la première fois). On était une dizaine. Je me suis retrouvée en face de ce type, la petite trentaine, qui a commencé à déblatérer sur la superficialité féminine. Je lui ai fait une remarque sur la vacuité de sa conversation précédente en arguant qu'il était un homme et que cela ne rendait pas profond tout ce qu'il disait. Et que la superficialité n'avait donc rien à voir avec le sexe. Et il m'a répondu en me faisant une remarque sur mon physique (concernant le fait que ma coupe de cheveux n'était pas à son gout). Sur ce je l'ai sommé de cesser de me parler et ai discuté avec son voisin. Il a continué à me parler tout en remplissant mon verre d'eau sur le thème "ma petite je déciderai moi-même quand la conversation devra prendre fin". <br />Cette "galanterie", remplir mon verre, n'était qu'une façon masquée de prendre l'ascendant sur moi avec un comportement paternaliste condescendant. Une mise en acte de son contrôle sur moi en tant qu'homme qui agit pour/sur la femme. Très très agacée, je lui ai dit que s'il continuait à me parler, je serai obliger de le gifler. Et je me suis levée pour ne pas lui laisser l'occasion de continuer la conversation malgré ma menace. En ce qui me concerne, son humiliation, qui se lisait sur son visage a été une grande satisfaction. Comme je lui avais fait cette remarque devant ses amis et qu'il ne pouvait décemment pas me gifler, il a été contraint de ravaler sa rage. Et de prendre sur lui. J'ai fini le repas à l'autre bout de la table avec mes amies. <br />C'est loin d'être la seule situation dans ce genre qui me soit arrivée. J'ai fait le choix de m'assoir sur les conventions sociales et d'être très agressive verbalement (en menaçant carrément de passer à l'agression physique). En vérité c'est un jeux de dupes car je ne passerai sans doute pas à l'acte, mais je transgresse en prenant une position "masculine" puisque je menace de passer au conflit physique. Ils ne peuvent pas répliquer, coincés qu'ils sont dans leur rôle masculin "un homme ne frappe pas une femme". <br />Ainsi, moi je transgresse mon statut féminin (le non recours à la violence physique) mais eux restent coincés dans leur rôle masculin. <br />Alors, je sais ce que vous allez me rétorquer (et vous avez raison c'est une limite à laquelle je n'ai pas trouvée de solution) cela ne peut fonctionner que dans les lieux publiques. Ben oui, si ils sont coincés par les conventions sociales qui veulent qu'un homme ne doit pas frapper une femme, dès lors qu'il n'y a plus de "public" pour faire peser le poids du contrôle social, je ne suis plus à l'abri d'une réplique violente. <br />C'est vrai. D'ailleurs c'est pour ça qu'il y a une semaine, dans le dernier train, lorsque j'étais seule dans le wagon avec un type éméché qui s'était assis de son propre chef en face de moi pour me "draguer" et qui m'expliquait que j'étais une femme bien parce que "ça se voit que tu sais rester à ta place de femme" je n'ai rien dit du tout et souhaitée que la situation reste "sous contrôle". <br /><br />Mais de temps en temps les envoyer chier lorsque c'est possible ça défoule tellement que ça rattrape des fois où il faut s'écraser et attendre en silence en priant pour que ça ne finisse pas mal. <br /><br />PS : Et voir la tête qu'ils font quand ça leur arrive, c'est juste jouissif.Berenicenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2620237437218044017.post-19221655335732489672011-11-03T05:44:57.914-07:002011-11-03T05:44:57.914-07:00Bonjour,
Quand il s'agit d'un comportemen...Bonjour,<br /><br />Quand il s'agit d'un comportement récurrent, largement partagé, je doute que l'alcool y soit pour quelque chose… Ce serait plutôt un révélateur.Virginienoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2620237437218044017.post-10494567955449484552011-11-01T04:58:38.050-07:002011-11-01T04:58:38.050-07:00Ouais bon... vous avez juste parlé à un boulet bou...Ouais bon... vous avez juste parlé à un boulet bourré quoi. Il est malheureux que ce genre de situation soit ultra commune et ultra relou. <br />Pour la domination je sais pas, après tout tu réinterprètes tous ces faits et gestes dans ton article. Ce que je retiens c'est le fait de se faire accoster sans avoir rien demandé et que le ton vire rapidement à l'agressif. Et je suis sûr qu'on en peut plus au bout d'un moment (je peux pas parler pour moi les gens m'accostent pas tellement pour me parler de leurs sentiments ou me draguer mais juste pour me taper des clopes ou des tunnes).Saugomhttp://saugom-pics-committee.tumblr.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2620237437218044017.post-26455052861988365532011-10-28T04:24:31.278-07:002011-10-28T04:24:31.278-07:00Ca en devient presque marrant, ça, en fait.
Dans ...Ca en devient presque marrant, ça, en fait.<br /><br />Dans le genre, y'à les hommes qui vont dans l'autre sens. Si avec mes coupines j'ai tendance à être expensives), autant en public, je suis plutôt trés discrète (dans le mesure du possible quand on est handicapé). Pull neutre, jean neutre, lunettes neutre, non coiffure neutre, pas de maquillage (j'aime pas ça, j'aime pas les vêtement non plus en fait.) Plus la petite croix autour du cou pour couronner le tout. Et un bouquin sur les genoux. De fantasy. Toujours.<br />Autant dire que ça ne plaît pas à certains... Et certaines. Comprenez, une femme (ou une ado encore plus), ce doit d'être active ! De s'habiller bien en faisant attention ! De se maquiller ! De parler au gens (la solitude c'est MAL rappellez vous en.) ! Quelqu'un qui comme moi lit un bouquin dans un coin de bar discrètement, se fait automatiquement accostée pour recevoir des conseils. Véridiques. Si j'étais pas catho, je balancerais une giffle, mais bon, je me limite à une phrase modérée et gentille : <br />"Casse toi connard, je fais ce que je veux, quand je veux, où je veux, et je t'emmerde."Colombenoreply@blogger.com